domingo, 28 de febrero de 2010

Mortifera - Ciel Brouillé

On dirait ton regard d'une vapeur couvert ;
Ton œil mystérieux, — est-il bleu, gris ou vert ? —
Alternativement tendre, doux et cruel,
Réfléchit l'indolence et la pâleur du ciel.


Tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés,
Qui font se fondre en pleurs les cœurs ensorcelés,
Quand, agités d'un mal inconnu qui les tord,
Les nerfs trop éveillés raillent l'esprit qui dort.



Tu ressembles parfois à ces beaux horizons
Qu'allument les soleils des brumeuses saisons ;
— Comme tu resplendis, paysage mouillé
Qu'enflamment les rayons tombant d'un ciel brouillé !


O femme dangereuse ! ô séduisants climats !
Adorerai-je aussi ta neige et vos frimas,
Et saurai-je tirer de l'implacable hiver
Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer ?

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Se diría cubierta de vapor tu mirada;
Tu mirar misterioso (¿es azul, gris o verde?)
Alternativamente tierno, cruel, soñador,
Refleja la indolencia y palidez del cielo.

Recuerdas los días blancos, y tibios y velados,
Que a las cautivas almas hacen fundirse en lágrimas,
Cuando, presa de un mal confuso que los tensa,
Los excitados nervios se burlan del dormido.

A veces te asemejas a esos bellos paisajes
Que iluminan los soles de estaciones brumosas...
¡Y cómo resplandeces, oh mojado paisaje
Que atraviesan los rayos entre un cendal de niebla!

¡Oh mujer peligrosa, oh seductores climas!
¿Acabaré adorando vuestras nieves y escarchas,
Y, al cabo, arrancaré del implacable invierno
Placeres más agudos que el hielo y que la espada?

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Florecillas azules.

Aquel verano lo pasamos conduciendo en su coche oyendo discos de Misfits. En aquel entonces yo no sabia quien era Glenn Danzig ni me importa...